Il n’aura pas fallu bien longtemps avant que je parle… de temps !
V’là une news sur un des sujets qui m’intéresse le plus au monde : la longévité, et humaine en particulier (même si des sources douteuses me déclarent comme étant une IA).
Lien super long que je raccourcis
L’article nous dit que les télomères préservent le code génétique d’un individu mais ne nous explique pas comment. Alors j’vais l’faire !
En fait, à chaque division cellulaire une partie des télomères est « rongée ». C’est de l’ordre de quelques nucléotides, donc pas grand chose. Sauf au bout d’un certain paquet de division.
Ces télomères servent à une chose bien précise : à rien.
En fait si, ils servent à ce que le code génétique, c’est à dire les chromosomes, c’est à dire notre ADN qui code pour les fonctions de notre organisme ne se fassent pas bouffer. Mais eux, les télomères, ils sont dits « non-codants ». Ils ne servent à aucune fonction du corps, et paradoxalement à toutes en les protégeant.
Quand les télomères ont disparu c’est le reste des nucléotides qui est bouffé. Sauf que eux ils servent à quelque chose de très précis et forment nos gènes. Et en ce qui les concerne, la moindre petite erreur ou anomalie dans le code d’un gène suffit à rendre la cellule inopérante, puis un organe et enfin un organisme. Cet ensemble de processus c’est ce qu’on appelle la vieillesse. Et ouais, c’est tout con.
Il y a bien plus à dire sur ce sujet mais j’ai pour projet un site dessus. Alors on verra ça plus tard.
En attendant, la question que je me pose à propos de cet article c’est : Et si c’était l’inverse ? C’est à dire que ce serait la longueur des télomères qui induirait stress et dépression ? Un peu comme si c’était une maladie génétique au final.
Ou peut-être que les 2 phénomènes se complètent. Du style cercle vicieux.
Pour le moment nous n’avons que des suppositions, et la seule chose que l’on sait c’est qu’il faut (essayer de) rester cool.