Comme quoi, encore une fois, la nature fait pas toujours dans la parité. En bidouillant un gène des souris mâles vivraient plus longtemps, mais cette modification n’affecterait pas les femelles…
C’est marrant, j’ai l’impression que plus le temps passe et plus il y a de trouvailles sur la longévité.
J’espère que ça va continuer longtemps (mais pas trop, parce que si on recherche longtemps c’est qu’on a pas trouvé !).